MaPrimeRénov’ :
Budget : Le budget de MaPrimeRénov’ est revu à la baisse en 2025, passant à 2,3 milliards d’euros, soit une réduction d’un milliard d’euros par rapport à l’année précédente1.
Éligibilité : Les logements classés F ou G ne pourront plus bénéficier de MaPrimeRénov’ par geste, sauf s’il s’agit d’un appartement. Les avances de fonds pour les ménages très modestes passent de 70 % à 50 % du montant prévisionnel de l’aide23.
Parcours de rénovation : Le dispositif est divisé en deux parcours : un pour la rénovation par geste (travaux isolés) et un autre pour les rénovations d’ampleur, nécessitant plusieurs travaux et un gain d’au moins deux classes énergétiques4.
Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) :
Les CEE, une des principales aides à la rénovation énergétique en France, connaîtront des évolutions en 2025, notamment suite à la publication de différents arrêtés en 20242.
Éco-Prêt à Taux Zéro (Éco-PTZ) :
Le montant maximal de l’Éco-PTZ peut atteindre 50 000 € en 2025, selon la nature et l’ampleur des travaux. Ce prêt finance diverses rénovations énergétiques, telles que l’isolation thermique et le remplacement des systèmes de chauffage5.
Interdiction de location des logements G :
Depuis le 1er janvier 2025, il est interdit de louer des logements étiquetés G sur le diagnostic de performance énergétique (DPE)2.
Accompagnateur Rénov’ (MAR) :
Le recours à un accompagnateur Rénov’ reste obligatoire pour les travaux d’ampleur permettant de sauter au moins deux classes énergétiques au DPE2.
Autres aides :
Des aides fiscales et des dispositifs spécifiques comme le chèque énergie et la TVA réduite sont également disponibles pour soutenir les travaux de rénovation énergétique5.
Ces aides visent à encourager les ménages à entreprendre des travaux de rénovation énergétique, réduisant ainsi la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre.